Monde extérieur [ORITCHY]

Alors que le soleil illuminait la plaine, Oritchy marchait dans les herbes hautes tout en rouspétant contre la rosée du matin. la brise fraîche de mai faisait danser les fleurs du pré. Ori se stoppa alors et plaça une main sur sa hanche et l'autre au dessus de ses yeux en guise de par soleil, elle regarda au loin afin de trouver une créature sur laquelle elle pourrait passer sa mauvais humeur.

Tu remarques la présence homme-lézard non loin, même si tu ne comprends pas ce qu'il peut bien faire dans un tel endroit! N'empêche, l'homme-lézard a l'arme levé et semble chercher la même chose que toi, si ce n'est qu'il ne t'as pas vu, lui.

C'est alors qu'Oritchy vit au loin un homme lézard a l'allure plutôt déranger... Que pouvait-il bien faire si loin de son habitat naturel... Ori haussa les épaules se fichant éperdument de la raison qui l'avait pousser ici, puisque la créature ne l'avait pas remarqué elle utilisa son don de furtivité et se fondit au herbes. Sans faire de bruit elle avança en position accroupie et lorsqu'elle fut a bonne porté, Oritchy bondi et enfonça sa dague dans le ventre de l'affreux.

Lors de ton avancée bien accroupie dans les herbes, ton don inné pour la subtilité est utilisé à bon escient. L'homme-lézard ne te remarques pas et tu obtiens ainsi la première attaque, te conférant tout de même un avantage!

L'homme lézard fut amoché par le premier coup porté par Oritchy. Cependant il n'avait pas dit son dernier mot, de ses longues griffes de reptile il lacéra l'épaule de la demi-Orque. Dans un cri de douleur et de rage elle vint a bout de la créature à sang froid grâce un coup bien placé dans sa gueule. L'ignoble tomba au sol et Oritchy lui cracha au visage :

-''Sale bête puante và!''

Maugréa-t-elle dans sa langue natale. Elle fouilla son adversaire et ne trouva que deux misérables piécettes d'ors. Elle rumina encore un peu et donna un coup de pied dans le ventre du lézard avant de continuer sa route vers la cité. Si d'autres créatures se dressent sur son chemin elles n'auront qu'a bien se tenir!

Tu retournes lentement vers Paragon, toujours frustrée paraît-il. Sur le chemin du retour, tu croises deux gobelins qui, dans un fort accent commun, te demandent tout ton or.

Sur la route vers Paragon, deux petits gobelins hideux et sournois demandèrent les pièces d'or d'Oritchy. Celle-ci loin d'être impressionner par ses deux microbes arqua un sourcil et posa son poing sur sa hanche. Elle décida de les faire marcher un peu... Elle jeta quelques piécettes au sol et leur répondit elle aussi en commun afin de se faire comprendre:

-''Prenez sales vermines''

elle attendit qu'ils approchent du trésor pour tenter de donner un coup de pieds au visage de l'un et planter sa dague dans le crâne de l'autre, technique peut orthodoxe mais quoi de plus drôle que de jouer avec des vermisseaux de la sorte.

Le combat s'engage donc (je laisse libre court à ton imagination pour le déroulement de celui-ci).