RPs de l'ancien forum

MAGTERIDON
Je naquis dans un petit village perdu et reculé du royaume elfe il y a de cela plus de 100 ans, ayant aujourd'hui 109 ans et quelques jours. Dès mon jeune âge, mon père vit en moi un talent innée pour le tir à l'arc. Suite à cette découverte, mon père fit venir un précepteur qui m'enseignant toutes les connaissances qu'il avait sur le tir à l'arc. Après les 8 ans que durèrent mon entrainement, je devient un archer protecteur de mon cher village.

Étant un village reculé, il y avait peu d'actions pour un archer dans mon genre, mais une nuit... Une légion orque qui se dirigeait vers la capitale passa assez proche pour apercevoir mon village. Par désir de batailles et de sang, la légion fit un petit détour pour attaquer notre bourgade. Ce fut leurs cris qui me fit tourner la tête. Je souffla aussitôt dans le cor, signal d'alarme de mon village.

Au cours de la bataille qui en suivi, nous tentâmes de défendre nos maisons et nos vies, mais malheureusement, les orques étant mieux entrainé, en meilleur forme et BEAUCOUP plus nombreux. Un orque escalada la barricade de notre village malgré les flèches dont je criblais son corps. L'orque, qui était apparemment le chef compte tenu de sa grosse armure et de sa musculature franchement extravagante, une fois arrivé en haut du ''rempart'' de notre village, me regarda d'un air irrité et m'asséna un violent coup d'épée en plein visage. Dans un mouvement uniquement induit par mes réflexes, je fis un rapide saut vers l'arrière, évitant ainsi d'avoir la tête tranché en deux, mais en ayant tout de même un profonde coupure passant par mon œil gauche me laissant ainsi borgne. La douleur de cette blessure était tellement insoutenable que je perdis connaissance se qui me sauva la vie, les orques pensant que j'avais péri du coup asséné par leur chef. Je me réveilla deux jours plus tard au milieu de décombres, le village ayant été saccagé par les orques. Je me dirigea alors vers la capitale, espérant qu'ils auront résisté aux orques.

Ayant tout perdu au cours de cette nuit, je décida de vouer ma vie à la destruction de toutes les créatures du mal, ceci étant la raison de ma venu à la forteresse caché.


TOMBUZZ (modération)
Il fut un temps ou tout était calme et ou la vie prospèrait sans mal... il fut aussi un temps ou tout était chaos et ou la vie prospèrait dans le malheur... mais bon, ceci n'a rien à voir avec ce dont je voulais noter. Voyez-vous, dans mon jeune temps, j'ai rencontré un mendiant qui parcourait les villes et villages sans trop se soucier de ou il allait passer la nuit. Je l'ai donc emmené chez moi et il m'a donné une pierre en guise de remerciement.

"Cette pierre, m'à-t-il expliqué, est celle que j'ai lancé sur le roi!! je l'ai eu en plein front!!!"

Dans le fond, il était juste débile. Bon, ou en étais-je? Ha oui les pierres de puissances! certain disent que c'est les dieux qui les ont créé étant donné leur résistance quasit parfaite aux chocs. Tourner en crème dans un saladier le jaune d'un oeuf et de la moutarde à l'aide d'une cuillère en bois. Ajouter de l'huile progressivement et par petite quantités jusqu'à ce que l'émulsion soit parfaitement compacte. Assaisoner au gout et rajoutter deux centilitre de vinaigre. Le secret c'est la température! la température idéale est 15 degré! Voila le secret de la mayonnaise.


Les pierre de puissances sont très résistantes aux chocs et certain disent que ce serait les dieux qui les auraient créé! Ces pierres permettent, grace à une magie inconnue, de connaitre l'emplacement exacte des autres pierres! Saviez-vous que pendant la mue le serpent est aveugle? Les pierres sont excelentent pour le travail d'équipe et pour les attaques coordonnées. Elle peuvent aussi marquer un endroit précit... On connait actuellement cinq exemplaire de ces pierres et aucunes ne sont en disposition du gouvernement actuel.

LE PLUS IMPORTANT ET VOTRE VIE PEU EN DÉPENDRE, C'EST DE SE SOUVENIR QUE : Il faut douze heures pour qu'une rose exprime tous les arômes de son parfum.


Denis Isergeth, grand historien des temps modernes


GUGNAR (administration)

Les rats de la ville : origines

Le monde fut conquis au terme de longs combats et d'incessantes attaques. De paix il n'existe plus depuis maintenant bien trop longtemps, tellement que certains habitants ne connaissent même pas la signification de ce mot... paix. La paix, c'est la liberté de vivre, je dirais. Et la paix, c'est ce que je voulais... mais pour cela il nous faut guerroyer, ça a toujours été ainsi et ça le sera toujours! Je vis dans la dernière forteresse du Bien encore debout, ici, toutes sortes de gens sont réunis... nous sommes beaucoup. Au départ, cette forteresse ne devait pas accueillir tant de gens, mais nous n'avons pas eu d'autre choix que d'agrandir l'endroit, de créer de nouvelles murailles... Mais ce n'a jamais été mon genre de m'enfermer chez moi, attendant patiemment que d'autres fassent le sale boulot à ma place. J'ai donc cherché un moyen de vaincre le Mal et, à un certain moment, j'ai pensé avoir trouvé! J'ai cru qu'il était possible d'agrandir des créatures pour les rendre bien plus fortes, mais je ne pouvais pas tester sur des humains tant que la formule ne serait pas bonne et sécuritaire, j'ai donc testé mes expériences sur des rats... Et oui, encore des rats au service de l'Homme, car ces bêtes sont nombreuses et faibles, inoffensives. Je me suis dit : "Si ça tourne au vinaigre, au moins, il n'y aura pas de danger!" Il faut croire que je me suis trompé, car, lorsque j'ai enfin trouvé la bonne recette pour agrandir des créatures, je me suis aperçu que la potion augmentait du même coup l'agressivité des bêtes. Le rat est d'abord devenu gros, des griffes et des crocs lui ont poussé et, au départ, tout semblait fonctionné.

Heureux, je suis allé annoncer la bonne nouvelle à ma famille et à mes amis, laissant ainsi les rats sans surveillance... Lorsque je suis revenu, mon laboratoire était tout à l'envers, le désordre était total... Une dizaine de gros rats, des rats sanguinaires que j'avais moi-même créés, se trouvaient dans la pièce. À mon départ, un seul avait bu la potion! J'imagine qu'elle est tombée au sol lors du ravage et s'est brisée, les rats en ont bu et sont devenus sanguinaires... Ils m'ont sauté dessus et ma tête est allée se cogner contre le mur de pierre qui se trouvait derrière moi. À mon réveil, les rats avaient disparus, ma maison était dans un état lamentable et ma réputation allait être anéantie. En effet, comment expliquer que j'avais créé des rats plus gros, plus agressifs et plus dangereux que la normale? Quelques temps plus tard, on entendait parler d'une infestation de gros rats dans les égouts... Heureusement, il paraît qu'un aventurier s'est occupé de leur cas, mais il ne fait aucun doute que certains sont maintenant en liberté dans le monde!

-Signé : Un homme perdu dans une folie qu'il ne voulait pas-

Le lorzdorc qui voulait mourir : origines

Il y a cinquante ans de cela, dans une toute petite grotte non loin d'ici, je suis né. Oh, ce n'est rien d'exceptionnel, j'en suis conscient! Je tenais simplement à raconter très brièvement ce qui s'était passé... Ma jeunesse d'orque a consisté en une éducation du combat, du pouvoir et de la cruauté. Oui, de la cruauté! Mon père était un lorzdorc, tout comme je le suis aujourd'hui, c'est pourquoi il m'a enseigné tout ce qu'il savait, afin que je puisse régner après lui. Bien sûr (et il devait s'en douter), je n'ai pas attendu qu'il meurt de sa belle mort pour prendre sa place, je l'ai plutôt confronter en duel dès l'âge de vingt ans. Je l'ai battu, car déjà j'étais fort, et je suis devenu le nouveau seigneur du clan. Nous étions peut-être une centaine dans ledit clan, certainement pas plus en tout cas. Dix ans après, nous étions cinquante, les guerres entre orques ayant décimées la moitié de notre population... Toute ma vie, j'ai combattu pour montrer ma puissance, pour régner sur plus de territoires, pour avoir plus d'orques à mon service. À cette fin, j'ai recruté des demi-orques en les incluant dans mon clan avec les mêmes droits qu'un orque, à savoir presque aucun. Mais, il y a quinze ans, j'ai attrapé une grave maladie en combattant des morts-vivants... Cette maladie, elle est incurable et annonce ma mort. Maintenant, mon heure est venue et je ne souhaite pas terminer ma vie, peu glorieuse je dois l'avouer, mais une vie d'honneur et de bravoure, en mourant dans le déshonneur, par la maladie. C'est pourquoi j'ai fait appel à un champion volontaire qui va me combattre et, je l'espère, me tuer. Il devrait arriver bientôt et je me battrai à coups de poing contre lui, jusqu'à la mort! Je n'ai aucunement l'intention d'abandonner, alors j'espère qu'il sera comme moi et ne fuira pas le combat. En espérant mourir dans l'honneur du combat...

- Karlz l'orque, lorzdorc -


Les traîtres de la forteresse : origines

Mon nom est Andeald, je suis un soldat d'expérience. Je suis né dans cette forteresse et j'y ai vu bien des nouveaux arrivants, qui venaient ici pour se réfugier, jusqu'à ce qu'on apprenne, il n'y a pas si longtemps de ça, que nous étions les derniers survivants. Dans un monde conquis par les forces du Mal, que peut faire une simple forteresse? Non mais franchement! J'ai toujours défendu cet endroit en obéissant sans me questionner aux ordres de mes supérieurs, j'ai combattu tous les genres d'ennemis, qu'ils soient humains, elfes, gobelins, dragons ou morts-vivants, j'ai tout vu. Avec l'âge, j'ai acquis une grande expérience du combat, mais on ne m'a jamais reconnu à ma juste valeur, c'est à peine si je dirigeais quelques hommes... Bref, j'ai fini par en avoir assez et c'est pourquoi j'ai commencé à penser à quitter la forteresse. Je ne savais pas trop ce que je ferais, au début, mais, à force de réfléchir sur mon avenir, je me suis dit qu'un seigneur qui s'était allié aux forces du Mal pourrait certainement m'accepter dans ses rangs. De toute façon, si je combattais, j'allais combattre le Mal, puisque le Bien était rendu presque inexistant! C'est pourquoi, après quelques jours, j'ai décidé de quitter la forteresse. Je suis parti et ai écrit une lettre à mes supérieurs, leur expliquant ce que je prévoyais faire. J'espère seulement qu'on me laissera réaliser mes rêves et qu'on ne me traquera pas à mort, car après tout, c'est de leur faute si je suis parti! Si seulement ils s'étaient occupés un peu plus de mon cas, il ne fait aucun doute que je serais encore à l'intérieur des murs de la forteresse, protégeant l'endroit.

- Andeald le soldat d'élite -


ZARADOD

Introduction

De tout les sorciers d'Hénoc, Zaradod fut le plus craint. Non seulement parce qu'il ne montra jamais son visage dans la capuche de sa tunique noire, mais parce qu'il était le plus puissant lançeur de sort. Son talent n'était pas semblable à celui de ses confrêres qui, eux, comptaient sur la grandeur de leur territoires pour augmenter leur puissance, mais, justement, parce qu'il innovait et cherchait des moyens de lancer de puissants enchantements avec un minimum de Mana qu'il pouvait se vanter d'être le plus fort.

La légende prétend que lorsqu'il était jeune, il affrontait déjà les groupes de démons avec la même ingéniosité d'un mage experimenté... Mais cela n'est rien à comparer de la guerre qu'il mena contre ses ennemis. Voici son histoire.

Chapitre 1

D'un pas rapide, Zaradod traversa le couloir de son palais qui menait aux appartements de l'ambassadeur. Arrivé devant les portes du bureau, il prononça trois paroles magiques et celles-ci s'ouvrirent en coup de vent avec force. Le sorcier entra ainsi sans ralentir et ne s'arrêta brusquement que devant le visiteur de l'autre pays:''Veuillez me dire Delfus, tonna Zaradod, pourquoi l'armée de ton maître est-elle sur MES terres?''
C'est que, en ces temps-là, les mages étaient les seigneurs protecteurs du peuple.
L'ambassadeur pris une expression d'indiférence:''Il y a eut une querelle entre une famille de ton côté de la frontière contre l'une des familles du côté de nôtre côté. Comme la chicane aurait pu devenir violente, mon maître à préféré agir rapidement...''
''Le seigneur Caïn n'a pas le droit de placer des troupes sur un territoire sans l'accord de son propriétaire! J'exige qu'il les retire immédiatement!'' Cracha Zaradod, méprisant l'atitude de Delfus.
Le visiteur allait répliquer quand le sorcier se plia en deux, pris d'une violente toux. Il tomba à genoux, la douleur résonnant dans tout ses membres.
L'ambassadeur ne fit même pas un geste pour le supporter et resta planter là.
Zaradod était ainsi de naiscance: son corps était plus faible. Ce phénomène avait été expliqué comme étant normal puisqu'il avait une mentalité plus puissante...
Quand, finalement la toux l'eut quitté, le sorcier se releva, non sans difficulté, Delfus lança ça réplique:''C'est impossible, tant que le problème ne seras pas rêglé... qu'y-a-t-il seigneur? Avez vous peur que l'armée découvre quelques secrets?'' Dit-il du ton d'un chercheur de trouble.
Zaradod frappa la table près de lui d'un geste rageur:''Je n'ais rien à chacher! Si l'armée de Caïn de quitte pas mon royaume d'ici 12 heures, je vais les détruire!'' Et, disant cela, il leva une main au niveau de ses yeux et invoqua une boule de feu dans celle-ci.
L'ambassadeur recula d'un pas, je savais que vous étiez dément!'' Il contourna Zaradod et pris la fuite...
Le sorcier prit une grande respiration et fit disparaître la boule de feu:''Ne t'ais-je pas appris, mon fils, qu'il ne faut jamais faire peur aux étrangers...'' Fit une voix derrière lui. Il se retourna et aperçut sa mère: une vieille femme aux cheveux blancs et frisées. Ele portait une longue robe blanche ainsi qu'un collier de perles blanches. Elle tenait à la main un sceptre de métal blanc dont le bout se terminait par une fine pointe:''Mon fils, pourquoi a-tu perdu patience? Il n'est pas celui qui a causé le trouble.''
''Mais il approuve son maître... de manière insultante. Caïn cherchait-il la guerre dans le temps de Kall?''
La vieille femme répondit franchement:''Ton père était plus diplomate et laissait les provoquations de Caïn de côté...''
''Mais ce qu'il à fait est...'' Tenta de répliquer Zaradod.
''Il a simplement posté une armée sur ton territoire... que peut-il avoir fait d'autre?''
''C'est ce qui m'inquiète...''
Sa mère mit une main sur son épaule:''Tu n'a qu'à aller vérifier... prend le temps de regarder ce qui se passe avant de juger une situation...''
Zaradod approuva d'un signe de tête presque imperceptible à cause de la capuche. La vieille femme retira sa main et le sorcier prit son envol. Il passa par la lucarne, la brisant en plusieurs morceaux. L'enchanteresse laissa les morceaux rebondir sur son bouclier invisible...

Zaradod volait à grande vitesse et atteignit le village ''envahie'' au bout d'une heure de vol. Il atterit et sentit le désespoir monter en lui quand il vit les corps de ses sujets cloués aux arbres et leur têtes empalés sur les branches...
''Ils veulent la guerre... ils vont l'avoir...'' Pensa-t-il.

Chapitre 2

''Tout les sorciers d'Hénoc, autrefois, pouvaient gérer leur royaume comme bon leur semblait, sans interventions de l'extérieur. Aujourd'hui, malheureusement, les sorciers sont soumis à la constitution. Cet écrit, selon une ancienne légende, fut imprimé sur le destion du monde. Quiconque désobéirait à la constitution serait retiré de la réalité...'' Zaradod prit une grande respiration et détourna son regard de la fenêtre, qui n'était en fait qu'un trou carré dans le mur épais de la tour, et observa ses confrêres: il avait réunis les 10 autres sorciers d'Hénoc:''Le mage de la forêt feuilledefer manque cette réunion... ce n'est pas grave, il payera plus tard.'' Pensa Zaradod en voyant le siège vide du mage des Elfes.

3 Jours après l'attaque de Caïn sur son territoire, Zaradod avait envoyé des espions partout sur le continent: le pire cauchemar du sorcier c'était réalisé, les rois des autres pays avaient complotés contre lui...

''Comment ces traîtres ont-ils trouvés une faille dans les écrits?'' Pensa-t-il, son regard devenant soudainement froid. Il regarda Caïn, qui, le regard indifférent, faisait jaillir de ses mains un flot d'énergie magique invisible qui causaient des mouvement dans l'air, autour de lui:''Font-il cela juste pour le pouvoir?'' Ce demanda le sorcier en fixant son regard de façon exageré sur le sorcier envahisseur.

Soudain, Zaradod perdit son sang-froid: rester dans la même pièce que ces traîtres lui était insuportable! D'un coup de poing, il défonça la grande table d'ivoire en face de laquelle étaient assit les mages:''Qu'avez-penssez en tuant tout ses innocents?'' Hurla-t-il en levant immédiatement les bras vers le ciel pour lancer un sort.

Avant que les autres mages ne l'en empêche, il tissa trois symboles, chanta deux mots(D'où l'expression deux temps trois mouvements): le sort fut jeté et un vent magique impétueux entra par les fenêtres de la tour, créant des mouvement dans l'air autour de ses adversaires qui se mirent à flotter dans les airs, incapables de comprendre ce qui ce passait!

Alors que le vent se transformait lentement en cocon de crystal autour des mages d'Hénoc, ennemis de Zaradod, les murs de la tour d'Ivoire commencèrent, de la base au sommet, à se couvrir de symboles magiques lumineux: la constitution était maintenant activé. Qui donc pourrait résister à la puissance du destin?

Le sort de protection de la tour attaqua immédiatement l'esprit de Zaradod, puisant ses forces dans les esprits de ceux qui l'avait créé...

Le grand sorcier se retrouva bien vite à genoux, au sol, se tenant la tête entre les mains, hurlant avec force, son esprit luttant de toutes ses forces pour repousser cet assaut...

Les minutes passèrent, les mages, maintenant enfermés dans des cocons qui les privaient de leur pouvoirs magiques, regardaient, effrayés, le combat mental qui avait lieu sous leurs yeux...

Zaradod, finalement, eut le dessus: soudainement, l'énergie ancienne quitta son corps. Le mage tomba sur ses mains, respirant bruyament, incapable de trouver son souffle... Il avait vaincu le Destin! Jamais tel exploit n'avait été accompli par aucun magicien sur Hénoc: Zaradod avait trouvé en lui des rescources incroyables de puissance... la peur s'empara des autres mages. Surtout lorsque Zaradod se fut relevé: ils avaient commis un crime... comment le payerait-ils sinon avec leur propre vie?

Sous sa capuche, le grand sorcier sourit. I leva les bras une nouvelle fois pour jeter un nouveau sort lorsque, soudainement, un bruit de ver se fut entendre: Caïn avait brisé, d'un seul coup de poing, le cocon l'enfermant! D'un bond, il fut sur Zaradod et lui assena un coup d'une force surhumaine, souriant de toutes ses dents pointues. Le mage à la tunique noire fut projeté si fort qu'il en traversa le mur de la tour... Caïn sauta lui aussi dans le trou qu'il venait de créer et lança un sort de vol, afin de poursuivre son ennemi.

Zaradod, qui avait compris qu'il tombait, lança lui aussi un sort de vol et redressa sa trajectoire pour être en parrallêle avec le sol, duquel il était à environ 10 mêtres...

Il ne vit pas venir le mage à la tunique rouge, Caïn, qui lui assena un autre coup puissant: Zaradod tomba au sol et roula dans la poussière. L'autre se posa rapidement à une dizaine de mètres et lança un sort de boule de feu qui jaillit de sa main...

Zaradod aurait pus, facilement, contre-carrer ce sort et lancer une contre-attaque, mais, à ce momment précis survint sa toux terrible qui l'immobilisa...

Alors que le grand mage revoyait sa vie passer sous ses yeux, quelque chose d'incroyable se produisit: un vent magique surgit de nul-part de éteignit la boule de feu en vol, à quelques mètres de Zaradod. Puis, un rayon de soleil concentré, comme un laser, fut projeté vers Caïn, qui, surpris, ne put réagir: il fut envoyé en l'air, à une dizaine de mètres de là avant de stabiliser son vol, une vilaine brûlure à l'épaule qui, normalement, aurait tué n'importe qui... Mais le sorcier vampire n'était pas faible et, après un regard de défi, reconnu son aggresseur surprise...
''Mieux vaut ne pas rester dans le coin avec un tel adversaire...'' Pensa-t-il tout haut, sans s'en rendre compte. Alors il s'envola au loin, retournant à la tour pour libèrer ses confrêres traîtres...

L'Elfe regarda le seigneur qui se relavait avec difficulté:''Comment allez-vous?'' Demanda-t-elle. Les Elfes étant des guérisseur surdoués, il était normal qu'ils s'inquiètes pour les êtres autour d'eux!

''Dégage... minable traître!'' Tonna Zaradod lorsqu'il fut debout et eu reconnut la seigneure de feuilledefer:''J'ai pas besoin de toi!'' Continua le sorcier, furieux.

''Calme-toi, mon ami...''
''Ne m'appelle pas ami!'' S'obstina Zaradod, fixant intensément la nouvelle venue.
L'Elfe garda son calme, celui qui avait fait la renommé de son peuple:''Je suis venu discuter... il y a eut un malentendu...''
''Tu parle... d'un malentendu?''S'écria Zaradod, hors de lui:''Des centaines de personnes... Des personnes dont j'avais la responsabilité... sont morts, par ta faute! Et celle des autres!''
''Je t'assure que je n'était au courant de rien, ils ont agit de leur propre chef...'' S'expliqua l'Elfe.
Le mage à la tunique noire, roula les yeux et entreprit de retourner à sa tour à pied, se détournant de l'autre.
''Tu ne peut pas les vaincres seuls...'' Cria derrière lui l'Elfe:''Dans les mois à venir, il y aura guerre...'' Avertie la seigneure de feuilledefer.
Zaradod se retourna, arrêtant de marcher:''Alors, tu ne seras pas de trop pour... causer de nouveaux morts!'' S'écria le sorcier à tunique noire en riant, ses nerfs à vif. Il repartit en marchant, sans plus se retourner et arriva à sa tour le soir même... Là-bas, il mit au point un plan incroyable qui aurait pus lui garantir la victoire...

Si seulement il n'y aurait pas eu de complications...

Pour commentaires: jflamb15@hotmail.com
Merci de me lire et de m'encourager(Si vous trouvez cela bon, bien sûr!)!


JAMENDO

Une journée dans les montagnes est une journée emplie d'aventure...

Proverbe nain

Un soleil de plomb se levait... Même si Jamendo était un fier guerrier des mines, il appréciait ses petits moments que la vie lui offrait... L'astre lui avait fourni la chance et le bonheur que tout nain peu rêvé... La terre, elle, lui avait enseigné à survivre et aussi à apprécier les métaux d'une belle qualité...

Le reflet de l'acier contre le bruit des os brisés... La couleur du sang ainsi que les pleurs des victimes... Voici ce que la vie loin de la mine lui avait offert... La tristesse et la désolation... Il en avait oublié pourquoi il avait quitté son havre de paix...

Issue d'une famille de grands guerriers, Jamendo fût entraîné dès son plus jeune âge au maniement des armes... Le marteau pour écraser, la hache pour couper... Ses plus fidèles alliés sur le terrain...

Il fût élevé par son père, guerrier de nature, et par sa mère, naine ayant foi en Vandorik, dieu de la terre... Il découvrit les origines de ce dieu, il apprécia ce dieu... N'importe quel nain devrais voir dans une pierre sa grandeur... Dans les montagnes, la toute puissance... Dans l'acier, sa volonté de tuer...

À l'âge de 18 ans, il parti avec d'autres jeunes de son clan pour prouver leur valeur... Le rituel consiste à survivre dans la montagne pendant une année sans autre ressource qu'une bonne hache... Certains devinrent fous, d'autres, de fier combattant... Des 15 nains qui ont quitté la mine, seulement six d'entre eux revinrent... Mais uniquement pour voir le village à feu et à sang...

Une horde d'orc et de gobelin avait détruit le village... Même si nos pères étaient les meilleurs dans leurs temps, la vieillesse avait fini par avoir raison d'eux... Un os fragile, un muscle endoloris, une réaction un peu lente... Nous voyions encore les orcs qui se partageait les restes de quelques morts...

Nous étions six... Ils étaient au moins trente, mais notre rage fût la plus forte... La douleur d'avoir tout perdu mélangé à notre sang bouillant de guerrier nous permis de gagner la bataille... Mais nous avions déjà tout perdu...

Rassemblant les corps, nous les avons enterrés dignement... Nous ne pouvions en supporter plus: nous devions partir de ce lieu... Je fis chauffé la bague de mon père, puis j'estompais la marque brulante sur le dessus de ma main... Ainsi, la volonté de ma famille me suivrait toujours...

Nous avons brulé le village. Il n'y avait plus âme qui vive dans ces montagnes...

Jamendo, Yorkin, Bislan, Thorin, Ronio et Jesbel... Les six derniers survivant de notre clan... Nous avons fait voeux de vengeance, mais nous ne nous sommes jamais revus depuis cette journée maudite... C'est ainsi que j'ai déambulé seul dans le vaste monde... J'espère que ce ne me sera pas mortel et que je pourrais faire revivre l'honneur qui a déjà appartenu à mon clan...

---Jamendo, l'ainé des six---


Le problème avec les mortels, c'est qu'ils pensent pouvoir changé le monde... Le problème des dieux, c'est qu'ils donnent à certains mortels ce pouvoir...

Dire d'un prêtre

Pour prouver à mon clan que j'était digne de mon clan, j'ai quitté le clan avec 15 jeunes nains... La montagne, grande et majestueuse... Endroit de grande beauté, mais aussi de tristesse pour certains... Je ne savais pas à se moment ce qui se passerait dans l'avenir, mais j'espérais prouver à mes paires que j'était digne de leur confiance...

Je me rappele mon départ... Selon la tradition, le père forgeait une hache pour son fils qui irait dans la montagne. Celle que mon père m'a offert n'était pas la plus rutilante ni celle qui était la plus belle, mais elle était celle qui était la plus rafiné... Mon père a travaillé cette hache pendant plusieurs mois... Lui qui n'avait presque aucune patience, ce geste me toucha énormément...

Acceptant le don de mon père, ma mère me regardait doucement, une larme sur le coin de l'oeil... Savait-elle que se serait la dernière fois que je la ferrais? Je l'ignorais, mais si ce fût le cas, elle décida de rester aux côtés de mon père jusqu'au moment de leurs morts...

Nous étions 15 au début... Nous devions partir vers un ancien avant-poste pour ensuite nous séparer... Nous ne devions nous revoir qu'un an après à ce point de rencontre... Si nous nous croisions, nous ne devions ni nous parler, ni même aider les autres... C'était un défi personnel... Même si nous voyions un frère ou une soeur contre une horde de loup, nous devions passé notre chemin sans l'aidé... La loi de la nature...

Ainsi donc, ce fût le grand départ... Les premiers mois sont toujours plus dificiles... La chasse n'ayant jamais été mon fort, j'ai souvent souffert de la faim... Dès le début, j'ai découvert un point d'eau... Ce qui m'aida grandement à ne pas mourir. En utilisant mes mains nues, j'ai creusé une dérivation pour apporter l'eau plus près de mon campement... J'ai donc utilisé ma hache pour couper un bon nombre d'arbre pour me faire une hutte rudimentaire... Utilisant feuille et terre comme toit, j'ai creusé une petite grotte pour me réfugier...

Mais la faim subsistait... Je devait chasser ou pêcher... J'ai donc pris des rochers non loin et j'ai arrêté le flot de l'eau... L'eau passa par la dérivation... En forme de demi-cercle, j'ai attendu que des poissons arrivent à l'intérieur de ce cercle... Avant la fin de la journée, j'ai eu deux poissons... Assez pour restaurer mes forces et assez pour me redonner courage... Mais comme je n'aurrais pas cette chance tout les jours, je devrais chasser...

Trois mois passèrent... Je connaisais maintenant des moyens pour chasser adéquatement le gibier... Ma ''spère à poisson'', comme je l'appelais, me rapportait trois ou quatre poisson par semaine... Je m'était habitué à cet endroit... Mes talents de chasseurs c'était dévellopé... Mes talents de tappeur aussi.. Il m'arrivait d'avoir de la viande en surplus... Je la fit sèché en espérant qu'aucune bête ne viennent les prendres... Avec leurs peaux, je me suis fait des vêtements, car l'hiver n'était pas loin... Avec les animaux trop petit, j'utilisait leurs peaux pour me faire des gourdes...

Durant ses quelques mois, je n'ai croissé aucun autre nain... Tous devait avoir leurs trucs pour survivre...

L'hiver fût cruel. Si je devait choisir le moment qui a tué le plus de nain, c'était bien ce moment... Les loups hurlaient aussi bien la nuit que le jour... Mes réserves étaient prêtes, mais elle s'amenuissaient de jour en jour... L'eau de mes gourdes était gelé... Ce qui demandait que je fasse un feu tut autant pour me réchauffer que pour faire bouillir de l'eau...

L'hiver passa, le printemps revint... Le grand dégel... Mais je devait partir de et endroit... Le ruisseau allait débordé comme à chaque an et je ne voulais pas me retrouver dans les flots...

J'ai donc marché, hache de mon père au poing... Mon aventure n'avait peut-être pas l'air extraordinaire comme un chasseur de dragon ou un mage voulant sauvé un royaume, mais tout héro a un début modeste...

Sur mon chemin, j'ai malheureusement trouvé la débouille d'un nain... Il est mort durant l'hiver... Ceci m'a attristé, car nous nous connaissions tous... J'ai donc fais une sépulture pour le valeureux... Et je dût me résoudre à prendre sa hache pour ma propre survie... Car ma lame commençait à être émoussé avec le temps...

Ce que je me rappel le plus après cet évènement, c'est l'ours que j'ai combattu... Je devait prendre refuge, et une grotte avait fait mon bonheur... Pas très loin du cours d'eau, près d'une zone que je savait fructueuse pour la chasse, il y avait cependant un obstale de taille: un ours...

Armé de mes deux haches, j'ai attendu le mouvement de la bête... Celle-ci me fonça dessus, directement... Je fît une roulade tout en lui tailladant le flanc... Mais la bête ne sentit pas cette attaque, car elle voyait rouge... Tentant de parrer ses attaques, l'ours m'envoya valser plus loin d'un coup de batte bien placé... Je me retrouvait sur le sol, sonné... L'ours fonçait sur moi... Je n'avais pas dix solutions... Je pris la hache de mon compagnon tombé et je l'ai planté dans le crâne de cet ours... Ce dernier, ayant une hache dans la tête, tomba lourdement sur le sol... Je n'ai pas eu de problème pour la nourriture pendant un long moment...

En retirant la hache, j'ai remarqué que celle-ci était fissuré à plusieurs endroit... J'avais fait le bon choix: Ma hache émoussé se serait brissé en mille morceau à l'impacte...

Finalement, un an passèrent... Comment je l'ai su? Par un nain qui passait par là et qui me dit le bonjour... Bislan avait toujours été le meilleur pour retrouver les autres... Il me dit qu'il y avait 4 autres survivants... Si peu? Cette répose me boulversa, mais je devais l'accepter... Après tout, je n'étais pas sur la liste des décès...

C'est alors que nous, les cinq survivants, nous nous sommes rejoin à l'avant-poste comme convenu... Nous avons raconté ce que nous avions vu aux autres... Nous racontions nos découverte, nos rires, nos pleurs... Nous avions formés une solide amitié en pleurant nos morts et en riant de nos succès...

Bislan était un chasseur né... Personne ne pouvait l'égalé dans ce domaine... Ce fût également lui qui a trouvé le cadavre de plusieurs de nos frères...

Yorkin était le plus manuel de nous tous... Il avait même réussi à se faire une petite forge... Car l'arme qu'il avait reçu s'était brisé contre un arbre...

Thorin était celui qui était le chef... Descendant du chef du clan, il avait un charisme naturel... Mais il était également un excellent guerrier doué d'une intelligence bien plus suppérieur à la normal...

Ronio était le plus mystérieux... Il ne parlait pas beaucoup, car il fût obliger de tuer un de nos frères dans un duel... Le nain, complétement fou, avait attaquer sans véritable raison ce dernier... Il avait perdu un oeil pendant ce duel, et il était chanceux que sa plaie ne s'infecte pas...

Jesbel était une excellente archère... Elle pensait beaucoup... Jamais je n'aurrais pensé qu'elle s'en sortirait aussi facilement, car de nous tous, elle était celle qui avait la meilleure mine...

Et il y avait moi, Jamendo. Celui qui n'était pas spécialisé dans un domaine ou un autre, mais celui qui avait eu l'esprit de survie le plu dévelloppé... J'étais le plus âgé du groupe d'environ 1 ou deux mois, mais on voit que, avec un mois ou deux de différence, j'ai sut faire les bons choix... Donc celui qui m'a sauvé de l'ours...

Ce n'est que plus tard que nous trouvions notre village en ruine, mais j'en ai assez dt pour le moment... Mais, nous 6, nous avion réussi ce rite de passage et nous avons prouvé notre valeur à ce monde...

--- Jamendo, l'ainé des six ---


Que ceux qui vivent par la lame de leurs épées meurt par la lame de vaillants guerriers...

Proverbe guerrier

Nous sommes restés pendant trois jours dans l'avant-poste... La fatigue emagasiner se dissipait et nous apprenions à tous nous connaître... Enfin, si nous n'avions pas été connu avant... J'avais un passé commun avec Yorkin et Jesbel...

Yorkin était mon ami d'enfance... Alors je le connaisait plutôt bien... Nous n'étions pas de ses jeunes nains qui possait des pièges de boue devant les portes ou ceux qui s'ammusaient à mettre du beurre sur les pomeau des armes pour qu'elle nous glisse des mains... Non, nous étions de ceux qui se battait pour l'honneur... Nous nous battions souvents, autant pour notre entraînement que pour passer nos colère et nos tristesse... Nous savions que l'autre serait toujours présent si nous avions besoin d'aide... Ce qui fût le cas dans plusieurs occasions...

Jesbel fût mon rayon de lumière pendant un long moment... Vers mes 16 ans, je l'ai rencontré la première fois pendant un entraînement avec Yorkin... Sa famille était venu demander à ma mère de bénir leur maison en raison du nouvel enfant qu'ils attendaient... J'ai été subjugé par sa beauté ainsi que par son aura... Je suis revenu à moi lorsque Yorkin me donna un bon coup dans le ventre... Ce qui me propulsa dans une flaque de boue... Je n'ai pas osé me relever avant d'être sûr que Jesbel était parti... Ce qui fît rire mon ami ainsi que mon père qui avait tout vu du coin de l'oeil...

J'ai continuer de voir Jesbel pendant plusieurs saisons. Au début, j'ai fait sa véritable connaisance pendant une fête en l'honneur d'un assault envers une forteresse gobeline... Et une chose en entrainant une autre, nous sommes tombés amoureux l'un de l'autre... Je me rapelle d'une nuit près d'une rivière au clair de lune... Ce fût une de mes meilleurs années... Mais, comme toute bonne chose avait une fin, ses parents avaient décidés d'arrenger un mariage entre elle et un vieux guerrier qui avait pêu de temps à vivre... Car, je dois l'admettre même si s'est un sujet tabou, que sa famille était particulièrement radine et plutôt désagréable... Ce fût donc un véritable scandale lorsque nous nous sommes imposés pour empêcher ce mariage...

Son père, hors de lui, prit son marteau et voulu me fracasser la tête... Il dissait que je ne méritait pas sa fille, car je n'avais pas fait mes preuves et que je m'imposait pour empêcher Jesbel de goûter au vrai bonheur...

N'ayant aucune arme avec moi, tout ce que je pouvais faire, c'était d'éviter les coups... Le village s'était rassemblé pour voir le combat, ce qui était plus ou moins courrant dans notre clan... Rouland, courrant, esquivant, je tentais de trouver une arme... Mais je ne pouvais tuer cet homme! J'aurrais apporté la disgrace sur ma famille et ce, pour le reste de ma vie! Le père, lui, défendait sa fille... Même si se n'était pas pour les bonnes raisons...

Malgré les cris de protestation de sa fille, l'homme réussi à m'envoyer au tapis d'un puissant coup latérale... Tentant de me relever, j'avais mon bras brissé... Essouflé et blessé, je voyais l'homme qui levait son marteau pour l'abbattre sur mon crâne... Je ne pouvais qu'espéré un miracle... Ce qui arriva...

Mon propre père, qui restait passif dans la plus part des histoires du clan, bloqua le coup avec un bouclier... Le bouclier, sous l'impacte, se plia sur lui-même... Mon père désarma ensuite le nain en colère pour ensuite le raisonné... À moitié conscient, j'ai sentis que quelqu'un me transporter... Puis, plus rien...

À mon réveil, je sentis que mon bras était en mille et un petit morceau... La convalescence serait longue... Je m'étonnais du fait que je sois encore vivant après un tel coup... Mon père vint à mon chevet, m'anonçant la seule nouvelle que je ne voulais pas entendre: je ne devait jamais la revoir...

J'ai traversé une déprime intense pendant plusieurs mois... Ce qui était normal... Mon amour ne pouvait me voir et je ne pouvais resentir sa présence à mes côtés... Yorkin, qui me connaissait bien, tenta d'appaisser ce sentiment, mais j'était inconsolable... Mais, je ne devais pas me laisser abbatre, car j'avais appris que le mariage n'aurrais lieu qu'après le rite de passage, c'est à dire dans deux mois... J'ai alors imaginé le plus fou des plans: Devenir plus fort que ce nain pour ensuite partir en exil avec ma promise... Ce n'était pas un brillant futur, mais l'amour nous fait endurer tout...


Alors, me voici maintenant, avec elle et les quatres autres nains... Je ne savais pas quoi dire car, d'un côté, elle était en meilleur forme que moi... M'avait-elle oublié? J'en doutais, mais nous étions 6 à vivre ensemble et le moment où j'aurrais pu lui parler seul à seul n'arriva jamais...

Thorin, étant le fils du chef, n'arraitait pas de nous casser les oreilles avec des discours à n'en plus finir... Et qui, de plus, ne voulait rien dire la plus part du temps... Il s'exprimait mieux avec une lame qu'avec des paroles, mais je savais que, pour d'autres, il était un orateur hors-pair et qu'il serait probablement un excellent compagnon de route... Enfin, probablement plus apprécier que des bardes... Je n'aimais pas trop me tenir avec lui, mais j'étais la plus sympatique avec lui... Car si on est l'ennemi d'un futur chef, c'étais se mettre à dos le village...

Ronio n'était pas très bavard... Toujours occupé à médité... Il était un mage et il avait survécu à cette épreuve... Ce qui était peu commun de nos jours... Il nous regardait toujours avec méfiances depuis son incident avec le nain fou... Il avait été obligé de faire cicatrisé la plaie avec une torche... Ce qui devait être très douloureux... Mais il réussisait néanmoins à nous faire de magnifique spectacle en utilisant ses sorts pour simplier notre vie... Un feu magique par-ci, d'autres sorts pratique par-là... Il devait avoir un sacré passé car, après tout, la magie, c'était un domaine étrange...

Bislan nous apportait de la nourriture... J'ai tenté de le suivre une fois, mais il m'a semé... Il est capable de retrouver tout n'importe où! Il est arriver à trouver un terrier de lapin... Dans les montagnes sans terre... Seulement avec son instinct... Il parrait que sa famille est la meilleure dans ce domaine, mais aussi qu'il ont protégé des animaux en voie d'extermination par notre clan... Si nos montagnes regorgent de gibier, se sont surment grâce à eux...

Lors de la troisième journée, au moment où, miracle, il n'y avait personne autre que moi et Jesbel, qu'une fumée noir s'éleva de notre village... Étant à 2 heures de marche, nous devions nous dépêchés...

La course fût dans le silence, si ce ne fût que le bruit de nos respiration... Nous avions peur... Peur pour nos famille, nos amis rester là-bas... Je priais Vandorick pour que rien ne soit arriver à ma famille... Ni même au père de Jesbel... Lui, je voulais le tuer de mes mains...

C'est uniquement rendu au village que nous avons vu l'étendu et la gravité de la situation...

--- Jamendo, l'ainé des six---


On dit qu'au royaume des aveugles, les borgnes sont rois... Mais le borgne ne comprendra jamais la tristesse de l'aveugle...

Ronio, le penseur...

Nous avons courrus vers notre village, véritable brassié... Lieu que nous chérissions et que nous avons adorer... Tout ceci était poussière et sang... Les meurtres de nos familles, de nos pères et mères... Des jeunes qui devait prendre notre place...

En regardant les décombres, nous savions qu'il était trop tard... Les orcs célèvbraient leur victoire... Il n'ont fait aucun prisonnier... Il nous ont tout prit... Il se partageaient encore les restes fumant d'un nain... Ils allaient le payé!

Regardant mes autres compagnons, qui était eu aussi prêt a tout détruire, je ne dit qu'une simple phrase:

-Pour notre clan! Que leurs mémoires soit vengé!

Sortant nos armes, nous avons foncés droit sur nos ennemis... Les orcs, convaincu d'avoir tué tout les nains, furent surpris de voire cette résistence...

-ÉCLAIR SUPÉRIEUR! Lança Ronio, en visant le chef des orcs... Ce dernier ne réalisa que trop tard qu'il était mort... Son âme était parti avant que son corps touche le sol...

Deux flèches arrivèrent sur deux orcs non loin... Visant les yeux, les deux bêtes étaient aveugle et serait abbatu par les prochaines flèches...

Bislan était pris avec trois orcs qui avaient ramasser leurs armes... Il savait exactement leurs moindre faiblesse... La chasse a l'orc avait commencer! Utilisant l'un pour se propulsé, il utilisait sa hache avec dextérité et confiance... Tranchant la jugulaire de ses créatures rapidement...

Tout en parlant des morts inutiles de cet endroit, Thorin Utilisait son marteau pour écrasé les articulations de ses adversaires... Les tués n'était pas digne pour un chef qui prone la diplomatie et la paix...

Moi et Yorkin, nous avons combattu dos a dos ces saletés d'orc! Nous avions une syncronisation parfaite, chose qui s'atteint avec un entraînement de plusieurs années... Nous causions la mort et la désolation dans le groupe d'orc...

Les orcs étaient mort, mais il en restait un... Un orc que l'on nomme comme berserker... Un orc terrible qui était complétement fou! A nous 6, nous avions peu de chance de le vaincre... Ses coups étaient rapides, forts et puissants... Seulle destin nous aida ce jour la...

La pluie commença a tombé... Ronio, mage des tempêtes, n'avait plus beaucoup de mana, mais avec cette pluie, son sort serait puissant! Beaucoup plus dévastateur! L'éclaire traversa le corps de l'orc, l'ébranlant... Puis, il s'écroula, grillé... L'éclair circula dans son corps pendant plusieurs minutes après sa mort...

Personne n'osait bougé... Tous croyait qu'il y avait quelque chose d'autre... Ce n'était par normal... Mais, après tout, c'était notre premier bain de sang... C'est après quelques minutes que je m'éfforndais, fatigué et attristé par la perte de nos famille... Les larmes perlèrent sur mon visage... Tous pleuraient leurs morts...

Nous avons prit un endroit pour nous réfugié de la pluie... Nous avions assez souffert cette nuit... Nous ramasserons les cadavres plus tard...

--- Jamendo, l'ainé des six ---


ROBERT (joueur) ET GUGNAR (administration)

(Gugnar)"Le Conseil des Protecteurs invite l'arcaniste Robert Thölsadum à se présenter ici même dans les plus brefs délais. Ses succès contre le Mal et, surtout, la destruction de la liche Andromath nous ont permis de constater ses nombreux talents. C'est pourquoi nous l'appelons à se présenter, afin de tenter de passer au grade supérieur : Protecteur. Glorieux dans notre ordre, ainsi que dans notre société, c'est une chance que peu de gens ont eu."

(Robert)À peine revenu de ma quête. je me précipite presque immédiatement vers ce lieu, sachant que j'y suis attendu.

Je m'incline devant le conseil et patiente pour voir ce qu'ils ont à me dire.

(Gugnar)"Robert Thölsadum, tu es un mage entré depuis quelques temps dans notre organisation. Bien que tu pratiques la magie de la Chance et que nous n'y croyons pas vraiment, nous respectons ton choix et tes gestes en disent largement assez sur ta bonté. Tu t'es spécialisé en résistance physique et en défensive, ce qui est certainement la meilleure des choses, car la défense est la meilleure des attaques, nous le savons bien. Arcaniste de Chance, d'Électricité et d'Acide, mage expérimenté, tu nous as prouvé que tu étais unique en ton genre. C'est pourquoi nous, Protecteurs, t'offrons une chance en or : celle de rejoindre nos rangs. Tu seras plus qu'un arcaniste, tu seras dans les hauts rangs de notre Ordre, mais pour cela il te faudra prouver que tu es digne. Nous avons pour cela préparé quelque chose pour toi. Souhaites-tu devenir protecteur, ou rester un simple arcaniste?"

(Robert)J'accepte cette offre avec la plus grande des joie. Je ferai tout mon possible pour réussir cette épreuve, car je suis prêt à tout pour protéger les gens auquel je tiens

(Gugnar)"Très bien, veuillez donc répondre à ce questionnaire avec la plus grand sincérité. Il y a dix questions, et nous acceptons le fait que vous puissiez développer vos réponses, nous l'apprécions même. En vérité, tentez de ne pas faire trop court lorsque possible. Bonne chance à vous, Thölsadum."

PS : Tente de ne rien regarder pour répondre aux questions, si possible bien entendu. Pour la question 4, par contre, tu peux bien aller regarder.

QUESTIONNAIRE
1. Quel type de magie faut-il prioriser selon vous? (attaque, défense, guérison, altération, etc.)
2. Quel domaine magique est spécialisé en défensive de zone?
3. Les créatures non-mauvaises attaquant quelqu'un de bon doivent-elles être tuées? Expliquez.
4. Quel est le dieu le plus souvent prié par les membres de notre ordre?
5. Quel est le plus grand défaut que l'on peut avoir dans un combat
6. En se basant sur les membres de notre ordre, quel est le pire domaine qu'un mage ou un prêtre puisse prendre (le domaine le plus en contradiction avec nos principes)?
7. Qu'est-ce qui démontre la force d'un adversaire?
8. À quoi sert l'Ordre des Protecteurs?
9. Nommez votre plus grand exploit et expliquez le.
10. Pourquoi souhaitez-vous devenir un protecteur?

Bonne chance!

(Robert)1. La défense! Mon but n'est pas d'éliminer les autres, mais de garder les miens en vie.

2. La force! Il permet de lancer le sort de défense de groupe, mais aussi le sort de défense le plus puissant après la puissance.

3. Bien sur que non. On protège celui qui subit l'attaque et s'explique avec celui qui attaque. S'il ne coopère pas, on l'immobilise où on le met hors d'état de nuire. De plus, s'il n,est pas mauvais, c'est qu'il y a toujours de la place parmi les rangs des bons. Il suffit de lui faire comprendre qu'il n'est pas sur le droit chemin. La mort n'est qu'en dernier recours.

4. Vitari, car elle prône vie et guérison. Tout bon protecteur a comme devoir de garder ses membres en vie, et cela même s'il doit en payer sa propre vie.

5. Être prit par surprise! Lorsqu'on est prit par surprise, on n'a habituellement pas le temps de se défendre ni le contrôle sur les défenses de nos alliés. Mais lorsque l'on maitrise la situation, on est en mesure de protéger l'ensemble du groupe à son meilleur potentiel. Voilà en partie pourquoi j'ai choisi le domaine de la chance.

6. Hummm, je dirais le poison. Le poison ne sert que le vilain. Il n'aide aucunement à soigner ou à protéger, mais n'emmène que blessures, souffrances et destructions. Voilà donc pourquoi il ne fait pas partie de mes domaines.

7. Ça capacité à se protéger. Peut importe comment faible l'attaque adverse peut être, si on est pas capable d'atteindre celui-ci, le combat est voué à l'échec.

8. À réduire les pertes alliés en les protégeant et ce, même au péril de sa propre vie.

9. Je crois que mon plus grand exploit est d'avoir ramener le roi et son armée parmis les rangs de la forteresse. Car en plus d'aider à combattre le mal et d'avoir montré à ces gens le droit chemin. En ayant pas rejoins le mal, j'ai empêché qu'ils blessent ou tuent d'autres personnes et ainsi protéger une très grand nombre de personnes. De plus, durant cette quête, j'ai mis en péril ma vie pour protéger des soldats blessés. Je crois qu'il est très important d'être capable d'agir ainsi.

10. Je souhaite devenir protecteur, pour ainsi devenir plus puissant. Malgré cela, ce n'est pas la puissance directement que je recherche, mais, si jamais je rencontre un monstre puissant lors d'un quête comprenant plus que moi même. Je crois avoir besoin de tout la puissance nécéssaire pour ainsi protéger mes alliés pour qu'ils n'ailles pas rejoindre le royaume des morts. Aussi, comme vous l'avez mentionné plus tôt, je me suis toujours concentrer dans la défensive et la résistance physique et je crois que devenir protecteur pourra parfaire ces domaines.

(Gugnar)"Très bien, le Conseil va lire vos réponses et vous reviendra dans quelques minutes, sortez s'il vous plaît."

Tu sors (à moins que tu ne souhaites le contraire, bien entendu, dans ce cas dis-le moi) et, une trentaine de minutes plus tard, le Conseil t'appelle.

"Robert Thölsadum, le Conseil a lu et étudié vos réponses et nous n'avons que quelques commentaires à y faire. À la question 4, concernant notre religion principale, Vitari est en effet une déesse importante, mais les deux divinités les plus souvent priées en premier lieu sont Héroïde et Miriata, que vous connaissez certainement. Aussi, pour ce qui est de la question 6, concernant le domaine qui va le plus en contradiction avec nos principes, le poison est effectivement et domaine répugnant, mais, en termes de domaines plus rares et plus puissants, la réponse souhaitée était plutôt la virulence, ou, pire encore, la nécromancie! Ces deux domaines totalement maléfiques apportent souffrance et destruction, mais de façon bien plus longue, voire éternelle, que le poison. La nécromancie détruit les âmes et la virulence putréfie les corps. Vous nous comprendrez, je le sais bien, et je suis même prêt à mettre ma main au feu que vous partagez notre avis! Ces deux domaines sont bien entendus formellement interdits dans notre ordre. Bref, puisque ces deux réponses n'étaient pas celles attendues, mais que les huit autres nous ont fort satisfaits, vous êtes... accepté parmi nos rangs! Vous allez subir un entraînement d'une journée afin d'acquérir les pouvoirs conférés à ce titre et, ensuite, vous pourrez enfin proclamer votre titre de Protecteur haut et fort. Félicitations. Vous n'avez qu'à nous dire que vous êtes prêts et nous entamerons l'entraînement."

(Robert)Je suis prêt à commencer l'entraînement dès maintenant! Est-ce qu'être dans l'ordre amène certaines réunions ou conseil. Sinon, je suis très fier d'être accepter parmi les protecteurs et tenterai de faire de mon mieux pour satisfaire vos exigences.

p.s. Je croyais que pour les domaines, la réponse se situait parmis les domaines principaux...

(Gugnar)Tu vas donc commencer l'entraînement, mais voyons tout d'abord ce que donnes ta quête avant de continuer.

PS : Je sais, c'est pour ça que je n'ai pas trouvé cela très grave.

(Robert)Je suis prêt pour l'entraînement !

(Gugnar)"Parfait, sir Thölsadum. Commençons donc immédiatement!"

L'homme te fait lancer ton plus puissant sort défensif et te démontre les effets qu'il fait, t'expliquant le fonctionnement exact des magies défensives, afin que tu puisses mieux les contrôler. Ça continue ainsi un bon moment, jusqu'à ce qu'il te fasse relancer le sort, que tu sembles très bien maîtriser (vu ton haut degré d'intelligence). Bref, l'entraînement continue un peu et te conditionne à toujours prioriser la défense, que la fuite peut être une sorte de défense, mais seulement lorsque tu es le dernier de tes alliés à fuir. Aussi, les aventures solitaires ne sont pas vraiment souhaitables, car il faut savoir s'entraider. Enfin, tu t'imagines bien le tout j'imagine, mais, t'ayant déjà fait attendre beaucoup trop longtemps dans la quête du nécromancien, je passe l'entraînement ainsi. Tu deviens donc officiellement... un Protecteur! Félicitations.

FIN DE LA QUÊTE
+1 PX